M. Bendepuget a écrit en mars 2012 :
Embauché dans une grosse société d'ambulances de Nice 06 (sa ambulances H.), sans contrat de travail, sans visite médicale, sans déclaration a l'URSSAF (preuve d'un inspecteur du recouvrement), ayant était sous payé (moins que le minimum conventionnel), après être devenu dérangeant et licencié comme une merde je décida d'attaquer aux prud'hommes (comme beaucoup d'ex-employés de cet imposant employeur).
En première instance tout comme en appel a Aix-en-Provence je fut débouté de l'ensemble de mes demandes, voir pire condamné a 800 €, alors que des points (qu'ils ne pouvaient pas nier) étaient reconnu en face! Des pièces n'ont pas étaient étudiées. Mon arrêt est bourré de signes de reconnaissances entre frères francs-maçons (triangles avec 3 étoiles), pourtant interdit par la loi. Certains passages de mon arrêt n'ont aucun sens et ne sont même pas écrit en français! La cour confond même le calcul du temps de travail effectif avec le calcul de la rémunération! Cet arrêt a était signé par le magistrat Mr. Grand Olivier (devenu retraité peu après).
Rentrant dans les critères, je décida de faire une demande d'aide juridictionnel en parallèle a mon pourvoi en cassation, demande qui m'a était refusé pour absence de moyen de cassation sérieux (tri apparemment systématique).
Coup de "chance" mon recours sur l'AJ a marché et un avocat aux conseils m'a était désigné, je suis a cette date (15/03/2012) donc dans l'attente du pourvoi...
C'est un système très bien rodé ou nous sommes triplement victime, d'abord en étant sous payé, ensuite avec le fait que la victime doive avancer des honoraires d'avocats, et pour finir en étant condamné a payer des dommages a en face.
Internet étant notre seul arme pour se faire entendre au plus grand nombre je profite donc de ce site.