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Les réseaux, les relations et les barrages illégaux en justice.
La seule solution : dénoncer, se grouper et agir ensemble.

M François RATAJ a écrit (Juillet 2020) :

La présentation des cas de dysfonctionnement du système judiciaire est toujours très touffue.
Je vais me limiter ici à vous donner copie d'un message que j'ai récemment adressé sur Facebook à Wil qui est un avocat dissident.
Je viendrai ensuite vous donner quelques indications personnelles qui pourront servir au lecteur de ce message.

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Message FB du 15 juillet 2020 à Wil

Wil…
Les faux d'une manière générale, je m'y suis habitué depuis plusieurs mois que je prends connaissance des autres cas de figure dans ce système judiciaire mafieux français.
Comme beaucoup, je pensais au début que j'étais le seul dans cette situation et, bien entendu, je culpabilisais en me reprochant d'être devenu trop grincheux, trop rigoureux, trop emmerdant, trop vieux en un mot.
Ensuite, dès l'instant où j'ai regardé à l'extérieur, je me suis aperçu que mon petit cas de traficotage judiciaire n'est qu'une goutte d'eau dans la mer. Il est perdu au milieu de centaines d'autres cas de tricheries des robes noires et parmi ces cas, il y en a vraiment de dramatiques.
Dramatiques au point d'attenter à la santé mentale et à la vie de nos concitoyens et je l'ai déjà signalé à plusieurs reprises par écrit.
Je le fais à nouveau ici en signalant à ma lectrice et mon lecteur que beaucoup auraient aimé lire ce texte mais ils ne sont déjà plus parmi nous : leur cadavre est en train de pourrir dans un coin, incognito.
C'est très louable de ta part Wil de nous mettre en garde contre tous ces faux que tu as détectés de manière flagrante mais qui continuent à exister dans notre justice débectante qu'il faut absolument, rapidement et efficacement remanier faute d'une véritable révolte sociale que je ressens jusque dans mes tripes maintenant que j'ai réellement pris la température de terrain.
Tu as été aussi le premier Wil à me faire connaître cette fameuse expression qui m'est familière maintenant : « Psychiatrisation punitive ».
Avant de te connaître, j'ignorais son existence.
Aujourd'hui, je la retrouve presque à chaque fois que je fais une nouvelle connaissance sur les réseaux sociaux.
J'en conclus que ce pays –la France – est devenu un pays de cinglés et qui ne l'est pas encore le deviendra bientôt.
Le métier de psychiatre a de beaux jours devant lui encore, crois-moi !

Et où sont-ils les plus nombreux ces cinglés penses-tu Wil ?
J'ai déjà répondu aussi à cette question et je peux republier mon texte.
C'est grave ce qui se passe dans cette société parce que, pendant que nous grillons notre énergie pour de tels combats, nous ne bâtissons pas.
Nous méconnaissons gravement aussi une chose que nous avons tous apprise en étant gosses : aimer…
Oui Wil, comme le disait l'un de mes correspondants un jour, nous sommes entrés dans l'ère de « la loi du plus fourbe ».
J'en suis très triste…
Infiniment triste…
François

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Indications personnelles

Je viens d'écrire un bouquin de 474 pages intitulé : « Le carnaval judiciaire de Nice » (voir sur mon site Amazon).
J'ai voulu ce livre drôle car il y en a beaucoup, des choses drôles…
Restera à savoir combien de temps nous allons accepter encore de rire alors qu'ils se foutent totalement de notre gueule.

Résumé de mon cas de figure :
-une affaire au civil toute simple concernant de l'urbanisme et où il suffisait de lire un cahier des charges.
-référé : deux ans d'attente pour dire que c'est le copain le juge du fond qui doit trancher.
-quatre ans pour le jugement du fond : le juge dit qu'un rond c'est un carré…
-plus de vingt plaintes au pénal car tout ce parcours est, bien entendu, truffé de faux.
-le cabinet d'instruction empile les dossiers depuis plus de quatre ans et attend le moment opportun pour envoyer son « sans suite ».
-j'ai plus de seize mille euros en consignations chez ce doyen des JI qui est donc devenu banquier et non juge.
-j'ai fait un crochet par l'AJE (Agent Judiciaire de l'Etat) : ne vous cassez pas les dents dessus, c'est barrage absolu ! L'Etat est bien protégé.
-je n'ai pas voulu de la cassation dans mon parcours : trop long, trop coûteux, inutile.
-ne prenez aucune assurance protection juridique : ils ne suivent pas et c'est le renard dans le poulailler puisque ce sont tous des copains de votre avocat.
-j'ai fait virer un administrateur judiciaire.
-j'ai une plainte contre un juge d'instruction.
-j'ai assigné en correctionnelle deux avocats.
-j'ai été jeté en prison sur dénonciation calomnieuse (malade mental dangereux). C'est un scénario que vous n'oubliez pas et j'en ai écrit un bouquin aussi puisque je suis écrivain :

https://www.amazon.fr/Z%C3%AAtes-bipolaire-Allez-zou-garde-ebook/dp/B00XVJUI72/ref=sr_1_3?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1

-j'ai publié plus de cinquante bouquins mais ne suis pas littéraire de formation : j'étais ingénieur mécanicien avec donc un esprit cartésien bien mis à mal ces derniers temps.

En résumé :
Ce système actuel est réellement une bande d'escrocs de la base jusqu'au sommet.
Votre avocat, celui de la partie adverse, le juge, l'administrateur judiciaire, l'expert, le notaire : ce sont tous des truands qui se retrouvent régulièrement ensemble pour boire un coup que ce soit chez les franmacs ou chez les partouzeurs.
Il n'est pas possible que tout cela perdure en France car c'est une guerre civile assurée.