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Les réseaux, les relations et les barrages illégaux en justice. |
M. Guillaume Philippe a écrit en septembre 2018 : J'ai loué un T2 pendant 13 mois à Barsac en 2016-17 . L'agence du Ciron gérait(e) les loyers du 32 avenue Aristide Briand et ne m'a jamais remboursé le solde des factures d'eau et d'électricité dû à des sous-compteurs alimentant une chambre dans la cour et un garage avec caravane, rien non plus des sommes dues à la CDC pour utilisation partagée (sous contrainte) de mes poubelles. La CDC de Mr le Maire de Podensac m'envoie une nouvelle facture de 54€ à régler en septembre avec un an et demi de retard. Pour panne informatique : une belle excuse très en vogue qui fait que personne n'est responsable. Déontologiquement, c'est la goutte qui fait déborder le vase ! Monsieur le Maire ne voulait rien entendre, il a été informé à diverses reprises mais s'est contenté de me renvoyer à chaque fois vers le conciliateur de Podensac (Mr J.F. Béziade) qui n'a pris aucune mesure adaptée, malgré deux visites et des courriers. Bien sûr, rien n'était mentionné dans le bail cosigné par l'un des propriétaires qui s'est contenté d'évoquer la pose de compteurs dans un garage pour alimenter une caravane après avoir rédigé l'état des lieux. Le partage des poubelles a été carrément occulté. Malgré deux ou trois factures avancées et transmises à l'agence qui a alors convenu de faire les calculs pour collecter l'argent, les choses traînent et je surprends l'occupant de la caravane qui avait déjà posé les sous-compteurs d'eau et d'électricité, en train de faire les comptes pour l'agence ! Une dispute s'ensuit avec des menaces de la part du locataire à la caravane qui craignait de devoir partir, ce qui a failli dégénérer. Coup de gueule à l'agence : le directeur, Monsieur Guillemet bidouille un accord de calculs de charges qu'il ne respectera jamais et qu'il n'a pas daté pour le prétendre antérieur. Mr Guillemet a attendu que je déménage pour m'annoncer ( sic ) : « qu'un compteur étant tombé en panne les relevés n'étaient pas fiables », sans explication, sans relevé, sans facture, et sans excuse. Or le compteur en question était neuf d'après les photos, il a été curieusement remplacé par un compteur qui affichait 98,822 m3 au relevé de l'état des lieux de sortie. Cette magouille lui a permis de largement surestimer ma consommation d'eau. Le comble : j'ai payé la totalité du Terme fixe (taxe d'eau) pour 3 personnes et 13 mois. – multiples entailles – dans le jardin de la colocation, difficilement accessible aux gens de l'extérieur. Coupable non identifié par la gendarmerie… Le locataire de la cour a passé sous silence le changement de son compteur. Et sa curatrice m'a soigneusement évité quand j'ai téléphoné à l'association : elle ne se serait jamais rendu compte que son patient n'avait pas payé ce terme fixe au prorata ! La CDC et le SIAEP de Preignac ont été informés, Monsieur le Maire de Barsac m'a dit qu'il m'aiderait mais n'a pas donné suite. Durant 13 mois, j'ai dû avancer de fortes sommes avec par exemple 543€ d'eau et bien plus pour l'électricité, qui ne m'ont été que partiellement remboursé ; tout ceci à cause du manque d'honnêteté et de professionnalisme de cette agence. Deux mois après mon départ, je me voyais réclamer 140€ par l'EDF qui évidemment, argumentait sur le fait que mon compteur tournait toujours. Je me suis retrouvé au contentieux et il a fallu faire intervenir le médiateur de l'énergie. Si l'EDF a corrigé, le SIAEP (Syndicat des Eaux) par contre, ne m'a jamais proposé de médiateur. Je suis excédé, il s'agit moins d'argent que de lutte vaine, avec la désaffection des conciliateurs de justice et de certaines administrations trop complaisantes qui ferment les yeux et vous laissent dans des situations inextricables. Qu'est-ce qu'un état de droit ? Et ne dit-on pas que l'arbre cache la forêt ? Philippe Guillaume, (honneuretfraternite@gmail.com) |