M. A. a écrit en décembre 2011 (anonymisé à la demande de l'auteur en 2018)
Tout d'abord, mes affaires de contentieux débutent en Juillet 2005. Mes supérieurs hiérarchiques, poussés par des agents stupides et corrompus, rédigent de faux rapports, puis me font examiner par, un prétendu expert psychiatre le Docteur J-L. D. A cette époque, ce praticien miteux siégeait également au comité médical départemental, de l'Isère. Actionné, par la maffia, et les délégataires de pouvoir d'un élu local, en l'occurrence P. B., conseil général du Canton de Villard de Lans, et maire de M, cet expert corrompu, a obtenu mon placement en congé de longue maladie. Depuis, il a démissionné de son poste au Comité Médical Départemental, après avoir abattu sa part de sale travail. Ainsi, il a bénéficié des gros bonnets de la Maffia, d'appuis importants. Au cours du semestre suivant ce fût au tour du Dr P C. du C-M-P de Saint. Egréve de recevoir un pavillon tout neuf pour soigner ses malades en échange d'un lot d'expertises truquées,dans lequel était inclu la mienne. D'une part, je formule un recours, contre le staff directionnel, qui réglait à cette époque là les affaires de la D-D-E. Pourquoi? Tout simplement, parce qu'ils ont bénéficié, de facilités de promotion, qui sont l'aboutissement d'œuvres et de magouilles sordides .Tout au long de leur carrière, ils ont mis leurs mains sales dans des affaires sordides de corruption, et des tractations illégales, avec le pouvoir politique, dans la plus totale illégalité. Marchés frauduleux, négociations ruineuses, infractions aux règles de droit, collectes de fonds occultes pour alimenter les caisses des partis politiques, etc.
Puis j'accuse Mr P. B d'avoir signé également un marché truqué, de pose de dispositifs de retenue, par câbles dans les gorges de La Bourne. Ce marché a servi, entre autre à alimenter les caisses du Parti Socialiste, dont le président du Conseil Général fait partie. Ce travail est tout à fait inutile puisqu'il suffit, d'abattre et tronçonner les arbres fixés sur les talus, et de rétablir ensuite les écoulements d'eau. Puis, j'ajouterais, qu'il s'entoure de personnes stupides et paresseuses, et qu'il " mutualise" les chômeurs faisant partie de sa clientèle, en les engageant au sein des collectivités qu'il manage. Ainsi, à contrario, des règles de la loi Montagne, il passe outre, à ce texte, qui définit le mode d''exercice de la pluriactivité, et les modalités de son financement.
Je présente aussi un recours, contre mes supérieurs hiérarchiques, qui ont engagé des maîtres d'œuvre privés pour truquer également les marchés publics.
Par ailleurs, durant le même été, j'ai signé signe un acte devant Me A notaire à Villard, pour rétrocéder, une partie de la maison, que j'avais construite, à Th, sur le territoire de la commune de M, à M.C.A ma concubine. En Novembre 2006, Marie Claude , après une dispute, quitte le domicile conjugal, et revient habiter à Pont De Claix, dans un appartement HLM, lui appartenant, tout près du "squat" occupé par S. sa fille. En 2007, une décision de partage intervient. Toutefois celle-ci, avait déjà été mise au parfum, par son ex-époux, dénommé D.D gendarme mobile retraité. Pour cette raison , par l'intermédiaire de son avocat Me C. P. elle contacte Mr Y.C et N.D maffiosis connus dans le milieu, afin de monter une escroquerie à mon encontre. L'affaire de partage suivant son cours, et comme la justice est très longue, je ne m'inquiétais pas, outre mesure. Poussé par la maffia, qui a eu vent de l'affaire (par le biais d'Y.C) Me G. postulante à un poste de magistrat au tribunal de Grenoble, contacte quelques maîtres de la maffia, dans laquelle est impliquée Mr J-C-L pour doubler cette infortunée personne. Rémunéré de maniére occulte par ces hors la loi, le juge de la chambre du TGI, précipite les événements, et décide de vendre mon bien, par adjudication, en omettant même de me prévenir, et de mettre en œuvre la procédure de conciliation. En effet mon ex-concubine disposait alors de soixante dix mille €uros sur son compte (70.000€), et pour ma part, je pouvais également obtenir de l'aide de quelques parents. Ainsi, mon immeuble a été bradé, et la vente, fût consentie, pour la somme de cent cinquante mille €uros (150.000€). En outre, je signale que Me G. a enchéri, pour le compte du mandataire de cette association de malfaiteurs : J.B et d'un autre complice : Mr G maire de la station de Vaujany.
En effet celui-ci a participé à l'escroquerie en laissant le gérant du gîte de C B détourner des fonds de la Commune de Vaujany(38), pour payer le prix de ma maison. Par ailleurs, cet élu local m'a avoué, qu'il gérait cette collectivité locale, comme une entreprise. Quand on sait que l'indemnité d'un maire d'une commune de moins de 500 Hab, atteint seulement six cent trente quatre €uros par mois (634€), sa culpabilité ne fait aucun doute. En outre pour corser l'addition, j'ajoute que Mr C.M I-D-T-P-E, et qui occupe le poste de Directeur de la communauté de communes du Plateau Matheysin, a entrepris la réhabilitation, des cités minières de la Mûre, avec la société N. Néanmoins, la convention de partenariat public privé, est même en contradiction, avec la définition, la plus rudimentaire. Il est inutile de souligner que ce fonctionnaire corrompu, a emprunté de l'argent, avec l'aval de N. pour alimenter son compte personnel, et maintenir le train de vie qu'il possédait dans son précédent poste basé en outre mer. On n'arrête plus le progrès !!!