Mme Mauti Angelo a écrit en février 2012.
En quelques mots, nous étions associés dans une SCI, propriétaire des murs commerciaux dans lequel nous exploitions une activité commerciale de "bar restaurant discothèque" .
Suite à des difficultés d'aménagement rencontrées avec la mairie et la copropriété de l'immeuble, avec la "complicité" des avocats et autres mandataire, à la demande de notre associée, nous avons été mis en liquidation judiciaire sans réel motif.
ils ont vendu illégalement tous nos biens, pour cela ils n'ont pas hésité à faire des faux en écriture.
Lorsque je me suis aperçu de la supercherie, j'ai dénoncé les faits au procureur, mais celui ci, qui ne pouvait ignorer les faits, a laissé faire.
ayant voulu malgré tout m'interposer pour faire échec à leur escroquerie, ils m'ont fait accuser de menaces de mort, de faux en écriture et d'agression sexuelle envers une mineure.
J'ai été mis en garde à vue six fois dans la même année et condamné pour outrage à magistrat sur la personne de l'huissier de justice qui était venu nous expulser sans en avoir le droit.
Toutes les autres accusations ont été classées sans suite.
Nous avons décidé de nous constituer partie civile contre les responsables de la situation et de les faire citer directement devant le tribunal correctionnel. j'ai ensuite rendu la chose publique en distribuant des tracts dans le centre ville, ce qui n'a pas réjoui mes opposants.
ils ont alors monté un coup de maitre en me convoquant devant le juge commissaire, qui était en outre récusé, et à l'audience ils m'ont titillé et insulté afin que je m'emporte pour ensuite me faire accuser de violences psychologiques envers des officiers publics et me faire emprisonner pendant un mois.
seulement à la sortie je n'ai pas arrêté les poursuites, bien au contraire, et après une délocalisation l'affaire a été jugée par le tribunal correctionnel de Paris. à l'audience le juge, Olivier Geron, a tourné la tête lorsque je lui ai présenté les preuve et, dans son jugement il a déclaré que nous étions de mauvaise foi.
après ça il est ressorti une autre preuve qu'en réalité tout ce qu'ils avaient prétendu jusqu'à ce jour était faux, mais les juges ont à nouveau fait semblant de ne rien voir.
cet ainsi que j'ai décidé de faire citer à nouveau les parties devant le tribunal correctionnel de Reims, y compris les magistrats de paris, le ministre de la justice et l'agent judiciaire du trésor public.
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