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Les réseaux, les relations et les barrages illégaux en justice. |
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Caroline Bénard (décembre 2014) Le prétexte est un chemin qui fait partie de mon domicile, il est précisé sur mon titre qu'il n'y a aucune servitude ni privée ni publique. Mon titre est garanti par l'état via le notaire et un document signé du maire. Mais, tout à coup à la demande des époux C., la MAIRIE revendique la propriété d'un chemin chez moi. Madame C. était employée de sous-préfecture à CERET, puis elle devint conseillère municipale à MONTFERRER,Monsieur est agriculteur syndiqué à la FDSEA. J'ai subi une expropriation (au bénéfice de l'employée de sous-préfecture). Toute la procédure est illégale tant dans la forme que sur le fonds. On ne peut pas faire une expropriation sur un chemin appartenant à la commune. Il y a eu plusieurs tentatives d'escroquerie au jugement, des C. et de la mairie, la majeure partie ayant réussit. J'ai compris, preuves à l'appui, qu'une des spécialités de ces fonctionnaires corrompus est l'escroquerie au jugement (fabrication d'un soi-disant problème, fabrication de la culpabilité des victimes, montage de dossiers administratifs avec des faux, falsification de documents, rapports d'enquêtes mensongers, faux témoignages...). De fil en aiguille, j'ai eu connaissance de crimes contre de nombreux citoyens : Saisies immobilières et mobilières illégales, spoliations, internements psychiatriques avec assassinats et tortures, j'ai recueilli des témoignages. J'ai déposé plainte, depuis 2001 auprès du parquet de Perpignan. Le simple fait de demander d'être rétablie dans mes droits me vaut des pressions supplémentaires et les criminels, eux, courent toujours, faisant d 'autres victimes. Le vice-procureur Sire s'est déplacé en 2003 et m'a fait prendre un accord en me promettant que le harcèlement allait cesser, depuis, c'est pire, et j'ai appris beaucoup de choses. Le parquet de Perpignan est visiblement complice puisque aucun des participants (maires, employés de préfecture, de la FDSEA, banquiers, assureurs, huissiers, avocats, médecins,...) n'a été inquiété, malgré la gravité des faits et le danger qu'encourent les victimes. Il y a même eu des décès, après ma plainte comme avant, dont je n'ai pas trouvé trace dans les médias. J'ai eu d'autres problèmes avant avec la même bande, cela fait au total 18 ans que cette « bande » m'a dans le collimateur. Sont mêlés à ces affaires : Tous les sous-préfets ayant approuvé les décisions de la mairie, alors que les procédures étaient illégales et Monsieur G. sous-préfet de CERET a participé à l'une des tentatives d'extorsion en bande organisée pour me sous tirer le fameux « chemin ». Le préfet ayant approuvé la DUP. Les conseillers municipaux de MONTFERRER depuis 2001. Les époux C. Monsieur G. ex-président de la FDSEA, président de la chambre d'agriculture, Monsieur M., son conseiller juridique. Certains employés de la D.D.E. L'expert géomètre C., le commissaire enquêteur R. (lieutenal-colonel de gendarmerie en retraite, radié de la liste par le T.A.) L'hôpital psychiatrique de THUIR, les docteurs D. M. Les juges D. du tribunal administratif, et B. du TI de CERET. Plusieurs commissaires au gouvernement. Les conseils de l'Ordre des médecins qui couvrent ouvertement les crimes des complices des hôpitaux psychiatriques, la chambre des notaires de Perpignan qui a couvert les notaires. Et j'en oublie. La corruption est évidente et prend plusieurs formes. Je sais que d'autres plaintes ont été déposées auprès du parquet de Perpignan sans aucun résultat concret.
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