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Les réseaux, les relations et les barrages illégaux en justice.
La seule solution : dénoncer, se grouper et agir ensemble.

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Mme MATHIEU écrit en décembre 2011 :
Née le 27 novembre 1999, l'enfant Christelle ne cesse de réclamer à revenir avec sa mère dans sa maison natale d'où elle a été brutalement arrachée le 27 mai 2004 suite à un jugement mensonger et diffamatoire basé sur une simple hypothèse d'allégation de « syndrome d'aliénation parentale dans l'avenir », pour être remise entre les mains du parent condamné pour violences réitérées, commises notamment sur la mère tenant l'enfant dans ses bras devant des policiers lors de leurs nombreuses interventions.
Les médecins et psychologues alertaient la maman sur la pathologie du père qui est un manipulateur-pervers, sujet à des crises de folie avec violences matérielles et menaces de mort, et la pressaient de demander le divorce.
Le 12 juin 2001 l'agresseur partait de force du domicile en coupant les vivres après avoir volé toutes les économies, puis durant 3 ans ne voyait l'enfant qu'à un point-rencontre, vu sa dangerosité et ses aveux de troubles psychiatriques devant les juges correctionnels.
Ce même jour l'un de ses amis commandant de police rend une visite-surprise à la maman pour la menacer « de lui faire enlever son enfant par un juge de ses connaissances, si elle maintient ses plaintes pour violences contre un policier ».
Ces menaces ont été appliquées en avril 2004 en ne tenant aucun compte du rapport social de mars 2004 décrivant le bien-être de l'enfant avec sa mère, qui désormais ne la voit plus que 4 jours par mois. Dès lors, les violences se sont reportées sur l'enfant Christelle, devenue souffre-douleurs par vengeance de condamnations : signalements des écoles (coups, négligences, carences graves…), nombreux certificats médicaux, ITT jusqu'à 10 jours, témoignages de toutes parts, plaintes multiples, etc…
Les auditions filmées et les dossiers de preuves disparaissent mystérieusement, comme les plaintes pour récidives de violences sur la maman. Malgré l'épais dossier de preuves, aucune juridiction n'accepte de changer la situation, même avec le rapport d'expertise pour la Cour d'Appel concluant, le 10 mai 2006, au retour de l'enfant chez sa mère, appuyé par plusieurs avis pédo-psychiatriques et médicaux dont ceux de l'éminent Dr A. Bottero de Paris.
Cette 3ème expertise révèle que l'agresseur travaille directement avec le tribunal, ce qui explique le parti-pris scandaleux des magistrats et leurs refus de sauver Christelle par les mesures d'urgence qui s'imposent, et de suivre un autre rapport antérieur, du 17 janvier 2006, écrit par leurs propres services sociaux demandant le retrait de la garde au père au vu de ses carences. L'auteur des maltraitances, qui a toujours considéré l'enfant comme un otage, tente même de la « marchander contre les meubles et l'argent de la maison ». Il dépose de multiples plaintes et fabrique des faux dossiers d'accusations avec l'aide de ses collègues de Moissy77. La maman subit depuis 2001 des enfermements arbitraires avec tortures de toutes sortes et enfoncement de sa porte, mise à sac de sa maison, vol, harcèlement de convocations, menaces de coups si elle ne signe pas des faux PV, privations d'eau, de nourriture, de médicaments, d'avocat, et du simple droit d'alerter l'entourage.
Des personnalités locales lui confirment « qu'il y a un réseau de ripoux dans la région ».
En décembre 2007 ils pointent leur arme sur l'enfant Christelle et sa mère en hurlant "je tire" après être entrés par effraction à coups de massue. Le traumatisme s'amplifie.
La CNDS reconnaîtra en mai 2009 les abus de pouvoirs des ripoux, et enverra son avis au Garde des Sceaux pour cause de dissimulation de dossiers de procédures par les procureurs, ce qui prouve le caractère frauduleux de leurs méthodes pour salir le casier judiciaire d'un innocent par tous les moyens, et tenter de l'enfermer abusivement. Immédiatement après, la CNDS subit des pressions de 2 ripoux de l'Intérieur, et diffuse même leurs écrits mensongers.
L'affaire est connue du Gouvernement et de l'IGPN depuis 2002, et personne ne fait rien. Au lieu de licencier et sanctionner l'agresseur qui devrait être en prison depuis longtemps, on le fait monter en grade en l'encourageant aux récidives. On sait depuis, par plusieurs sources officielles, qu'il est utilisé en tant que psychopathe par les réseaux de corruption criminels, les mêmes qui donnent leurs ordres aux magistrats.
Eté 2007 : l'enfant Christelle écrit une longue lettre à Monsieur SARKOZY, décrivant les horribles maltraitances et violences dont elle est victime. Ses tortionnaires (le père et ses parents) n'ont pas hésité à l'enfermer dans une cave noire et à l'attacher sur une chaise les mains derrière le dos, lui donner de multiples coups sur la tête et sur le corps, lui raser les cheveux, l'humilier et l'insulter constamment. Ceci a été dénoncé dans des auditions filmées, enfin obtenues à ce jour (diffusion sur blog). Elle est en outre coupée de sa maman durant de longues périodes jusqu'à un mois, avec empêchements de contacts téléphoniques.
Un déménagement l'a éloignée davantage de sa mère depuis septembre 2008, l'agresseur sévissant maintenant dans le 95 (Cergy-Pontoise, Roissy, ...) et le 93 (Villemomble, Le Raincy, ...).
Christelle couvre ses cahiers scolaires d'inscriptions « je veux revenir avec maman » en refusant de travailler. Elle ne cesse d'écrire des lettres pour crier sa souffrance et dénoncer chaque fait nouveau (voir blog). Fin 2008 monsieur veut la forcer à écrire une fausse lettre contre maman. Devant son refus, il jette ses jouets par la fenêtre et à la poubelle. Traitée de façon inhumaine, elle est même privée de certains repas et goûters, n'a pas le droit de prendre des bains ; on refuse de la soigner quand elle est malade. Elle fait des cauchemars et se dessine « en prison chez son père » ou même assassinée. Elle va jusqu'à souhaiter la mort de son agresseur pour vivre tranquille avec sa maman, qui depuis sa naissance se consacrait à elle à temps complet. Le lien maternel indestructible est resserré par les multiples entraves aux relations mère-enfant.
Toutes les procédures sont susceptibles de nullité vu les nombreux vices de forme.
L'arrêt de Cour d'Appel qui refusait de suivre son propre expert a été cassé le 23 janvier 2008 par la Cour de Cassation de Paris, qui renvoie "devant une autre formation" en appel. L'audience est reportée indéfiniment. Tout est fait pour prolonger le calvaire de l'enfant. Les juges l'ont entendue plusieurs fois jusqu'en avril 2011 puis font croire qu'ils n'ont rien entendu, après avoir rejeté le témoin prévu. Ils reconnaissent que Christelle demande à retourner avec sa mère et va très mal : au lieu de rétablir la situation ils conseillent un psy. Ils s'obstinent à rejeter aussi le dossier très gênant et les conclusions, pourtant régulièrement signifiés.
Le 27 avril 2009 les adversaires réclament par avocats 100.000 euros contre la restitution de l'otage Christelle à la maman. Monsieur se vante et devant témoins que "toutes ses procédures sont payées par le Ministère de l'Intérieur". C'est-à-dire que le gouvernement soutient un agresseur conjugal et paye son harcèlement depuis +10 ans, aux frais du contribuable .
L'ensemble des preuves, lettres et photos sont diffusées sur ce blog depuis le 1er juillet 2008.

MERCI POUR VOTRE SOUTIEN
MERCI POUR VOS SIGNATURES

MERCI DE TRANSMETTRE CETTE PETITION A VOTRE ENTOURAGE ET AUX JOURNALISTES

Maman de Christelle

Enregistrements d'appels sur répondeur :
http://www.stargate-connection.be/asso/sansnumero.mp3

Pleurs enregistrés le 8 novembre 2007 à 17h au moment de retourner chez son agresseur http://www.stargate-connection.be/asso/Pleurs8nov07.mp3

CLIQUER SUR CE LOGO ----> petition

http://enfantchristelle.sosblog.fr/index.htm PETITION + 500 signatures :
http://www.mesopinions.com/Pour-sauver-l-enfant-Christelle-des-maltraitances-et-pour-son-retour-chez-sa-maman-petition-petitions-514991a0c5499d1322056b3b5f59ec34.html