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Mme Huberte ALBASINI a écrit en mars 2012 :
Dans une certaine situation, j'ai été amenée à acheter une maison en indivision avec une infirmière devenue psychothérapeute pour l'amour de l'argent et de la manipulation.
Elle a choisi une maison avec un rez de chaussée où elle pouvait exercer sa profession gratis et à St-Malo "pour que le bon air marin soit bénéfique à ma santé" bien compromise déjà.
Cette perverse m'a fait vendre mes 2 biens immobiliers, vendus 250 000 euros en 1999. En septembre 2002, à force de payer, j'ai dû contracter les 1ers crédits de ma vie.
2 jours après l'achat de ma maison, suite à une dispute au sujet de travaux, elle m'a administré la 1ère correction de ma vie et comme je voulais appeler la police, elle a appelé un médecin après m'avoir confisqué mon portable.
Devant sa plaque professionnelle sur rue et son baratin professionnel, elle a abusé ce médecin qu'elle a reçu dans son bureau de consultation et qui d'emblée a appelé une ambulance pour me transporter à l'hopital de St-Malo contre mon gré.
L'interne incompétent m'a gardé, mon visage était défiguré par les coups, j'ai été enfermée 37 h, sans examen, sans soins reçus ni de surveillance constante et l'on m'a prescrit une boite de pastilles LYSOPAÏNE en guise de soins urgents.
Ce monstre s'est vite comporté en maitresse des lieux dans la maison, pertubant aussi les divers entreprises qui n'ont fait que des malfaçons (3 entreprises depuis reconnues fautives grâce à moi par 3 experts judiciaires.
Comme je ne voulais pas lui obéir, et que je déposais des plaintes,15 mois après l'achat maison, elle m'a assignée en licitation.
Elle ne fait que du faux que je démontre sans problème mais les juges ne regardent que ses pièces mensongères, et je suis condamnée abusivement aux dépens à chaque fois.
Elle fabrique des pièces, se sert de ses clients (es) pour faire des faux témoignages, le pire et la cause, c'est qu'elle soigne le grand chef de Bretagne, là est l'origine du problème.
Nous sommes rendus à la Mise en Etat au Tribunal de St-Malo pour le compte-partage;La maison a été vendue aux enchères en sept 2008 chez un notaire de RENNES qu'elle a choisi elle et qui vient d'être condamné. Le juge ne veut pas nommer un 2ème notaire choisi par moi pour mieux me voler. Bien sûr le rapport-expertise de l'expert chargé des comptes est tout mensonger,et c'est moi qui a du le payer.
Depuis le début les juges lui accordent toutes ses demandes grâce au généreux patient, mais avec mes sous.
Tout était organisé en fait pour qu'elle soit l'heureuse adjudicataire à un prix très bas, mais à 5000 euros près, ça lui a passé sous le nez, mais elle se rattrape dans le compte-partage dans ses dernières conclusions où elle triche gravement.
Elle a même rempli une fausse déclaration de plus-value qu'elle devait mais que le fameux notaire n'a pas du verser, et elle m'en réclame de payer une partie alors que je n'en dois pas mais le juge (PDT du TGI de St-Malo) a ordonné que je paie alors qu'il était le 1er à critiquer que j'étais encore dans la maison donc en principal jusqu'à la vente (je n'avais plus d'argent pour partir).
Constats de son huissier inexacts aussi, un vrai complot en bande organisée ici encore,
J'ai 200 pièces parlantes sur la psychothérapeute manipulatrice perverse, même les impôts de St-Malo s'inclinent pour la favoriser.
Cest LA 41ème ARNAQUE DE CHEZ JULIEN COURBET!
Je voudrais être aidée à publier mon affaire avec les pièces.