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Les réseaux, les relations et les barrages illégaux en justice. |
Voir des procédures Jean-Philippe de Lespinay a écrit en décembre 2010 (mis à jour en mars 2015) Je viens de publier un blog relatant 26 ans de ma vie d'inventeur Français contrecarrée volontairement par nos administrations assistées par des juges corrompus : https://jpdelespinay.wordpress.com/2012/09/23/sommaire/. Il va déboucher sur une proposition de réforme de la constitution permettant à la France de devenir la 1ère vraie démocratie de l’histoire. Ce sera sa 2ème révolution... Comme inventeur, je suis loin d'être un inconnu : écrivez donc mon nom dans Internet ou faites des recherches sur les articles publiés sur moi depuis 1986… Quant à mon invention, il s'agit d'un simple logiciel qui rend le PC intelligent et vocal. Plus besoin de clavier, de souris, ni d’écran (puisque le PC vous parle) ! Avec les “soutiens” dont je bénéficie, elle finira par tomber entre les mains des Américains... En effet le bit poursuivi par nos amis fonctionnaires est de couler définitivement mon projet. Ils m'ont déjà fait déposer le bilan 3 fois : Mais ce n'est pas tout : en 10 ans, 27 juges ripoux m'ont condamné au maximum possible, causant un surendettement tel (reconnu en 2005) que la Banque de France n'a pas imposé de plan de remboursement des créanciers. Mais ce n'est pas tout. J'ai été muselé par les universitaires dès 1986 vu le succès médiatique de mon invention, pour qu'elle demeure inconnue. Ils ont intrigué pour que je reçoive aucune subvention à la recherche, ne remporte aucun concours sur l'innovation dans ma propre ville (Nantes) et n'obtienne même pas l'aide à la création d'entreprise innovante. Ensuite, la Société Générale m'a retiré mon chéquier et ma carte bleue, puis inscrit FICP pour m'interdire tout recours au crédit. Cela sans préavis, sans motif et bien que mon compte soit en positif. 4 juges lui ont donné raison… Un liquidateur (D. ) a monté un faux dossier pour me faire interdire de gérer (voyez la Lettre à Lulu, un article rédigé par un de vos anciens journalistes). Ce faux fut présenté par un procureur (C. ) au tribunal de commerce, mon juge fut Louis Vercelletto, président du tribunal et mon ennemi personnel, qui ne se désista point et me condamna au maximum possible : 10 ans d'interdiction de gérer avec effet immédiat. Bien que le dossier soit manifestement faux, je perdis en appel et en cassation ! Ma femme demanda le divorce… Mais ce n'est toujours pas tout ! Résumons-nous : j'ai été ruiné méthodiquement mais je m'agitais encore (en préparant mon blog et un livre sur mes 24 ans de persécutions, suivi d’une thèse politique), alors on a fermé mon compte, on m'a empêché de recevoir mes allocations de chômage, de trouver un autre compte bancaire puis supprimé le droit au surendettement qui interdisait aux créanciers de venir saisir mon revenu… Et tout ceci n'est qu'une petite partie des tuiles que mon blog relate… Mon invention doit être vraiment géniale ! |